Abordant la question sécuritaire, l’ancien Secrétaire Général de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS), Alexis Mutanda, soutient les Forces Armées de la République Démocratique du Congo qui, nuit et jour, combattent pour défendre nos territoires. Reconnaissant les efforts que fournit le Chef de l’Etat, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo pour le retour de la paix sur l’ensemble du territoire national, l’Ingénieur civil Alexis Mutanda plaide pour l’amélioration de conditions de travail de ces hommes des troupes ainsi que l’amélioration de conditions de vie de leurs familles respectives qui restent plusieurs mois et même années sans être ensembles.
Il a, par la même occasion, salué la décision du Président de la République de procéder à un profond remaniement au commandement militaire couvrant des provinces parmi les plus instables de l’Est du pays. A en croire Alexis Mutanda : « Ce commandement militaire est modifié pour répondre aux enjeux dans l’Est de la République ».
Préservation de l’intégrité territoriale
Concernant le débat houleux sur la révision constitutionnelle, ayant suscité une vive opposition, menée par des figures politiques comme Joseph Kabila Kabange, Martin Fayulu Madidi, Moïse Katumbi Chapwe, ravivant les tensions politiques et mettant en lumière les fractures au sein de la classe politique congolaise, l’ancien Secrétaire Général de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS), parti cher au Docteur Etienne Tshisekedi Wa Mulumba, estime qu’il est nécessaire de changer cette Loi fondamentale du 18 février 2006 qui, selon lui, a montré ses limites. Rappelons ici qu’à cause des zones d’ombres qu’on trouve dans l’actuelle constitution, la justice congolaise s’est déclarée incompétente dans l’affaire de détournement des fonds du parc agro-pastoral de Bukanga-Lonzo.
Pour lui, la démarche du Chef de l’État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo mérite le soutien total de toutes les couches de la population car elle vise à consolider l’autorité de l’État et à préserver l’intégrité territoriale de la République Démocratique du Congo. Indiquant qu’on a introduit dans la Constitution du 18 février 2006 des notions L’homme politique congolais et opérateur économique, le député honoraire Alexis Mutanda Ngoy-Muana, suit de près la situation socio-politique de son pays.
Lors d’un entretien qu’il a accordé le weekend dernier à quelques médias de Kinshasa, la capitale de la République Démocratique du Congo, ce patriote est revenu sur quelques questions d’actualité qui ont marqué l’année 2024, notamment l’insécurité dans la partie Est de la République causée par les rebelles du Mouvement du 23 Mars(M23), avec comme parrain le Rwanda, le débat houleux sur la révision ou changement de la Constitution, le changement dans la chaine de commandement de FARDC, le lancement de la cimenterie et conflits communautaires à Katanda ainsi que le phénomène Kuluna.
Abordant la question sécuritaire, l’ancien Secrétaire Général de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS), Alexis Mutanda, soutient les Forces Armées de la République Démocratique du Congo qui, nuit et jour, combattent pour défendre nos territoires. Reconnaissant les efforts que fournit le Chef de l’Etat, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo pour le retour de la paix sur l’ensemble du territoire national, l’Ingénieur civil Alexis Mutanda plaide pour l’amélioration de conditions de travail de ces hommes des troupes ainsi que l’amélioration de conditions de vie de leurs familles respectives qui restent plusieurs mois et même années sans être ensembles.
Il a, par la même occasion, salué la décision du Président de la République de procéder à un profond remaniement au commandement militaire couvrant des provinces parmi les plus instables de l’Est du pays. A en croire Alexis Mutanda : « Ce commandement militaire est modifié pour répondre aux enjeux dans l’Est de la République ».
Préservation de l’intégrité territoriale
Concernant le débat houleux sur la révision constitutionnelle, ayant suscité une vive opposition, menée par des figures politiques comme Joseph Kabila Kabange, Martin Fayulu Madidi, Moïse Katumbi Chapwe, ravivant les tensions politiques et mettant en lumière les fractures au sein de la classe politique congolaise, l’ancien Secrétaire Général de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS), parti cher au Docteur Etienne Tshisekedi Wa Mulumba, estime qu’il est nécessaire de changer cette Loi fondamentale du 18 février 2006 qui, selon lui, a montré ses limites. Rappelons ici qu’à cause des zones d’ombres qu’on trouve dans l’actuelle constitution, la justice congolaise s’est déclarée incompétente dans l’affaire de détournement des fonds du parc agro-pastoral de Bukanga-Lonzo.
Pour lui, la démarche du Chef de l’État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo mérite le soutien total de toutes les couches de la population car elle vise à consolider l’autorité de l’État et à préserver l’intégrité territoriale de la République Démocratique du Congo. Indiquant qu’on a introduit dans la Constitution du 18 février 2006 des notions venant de l’étranger, spécialement des personnes qui ont combattu la RDC, dans le but diabolique de balkaniser le pays. Cet Homme politique qu’on ne peut plus présente justifie encore son soutien au débat sur le changement ou la révision de la Constitution actuelle et évoque également les différentes réformes (politiques, économiques, financières, monétaires, budgétaires et sociales) qui peuvent être initiées.
Il s’insurgent contre une certaine opinion, précisément celle soutenue par les opposants congolais. Joseph Kabila et consorts qui estiment que ce débat sur le changement de l’actuelle Constitution ne serait qu’un stratagème de l’UDPS et de l’Union Sacrée de la Nation de s’éterniser au pouvoir. « Quand on parle de Joseph Kabila, ça fait penser à beaucoup de choses parce que, 18 ans au pouvoir, ce dernier a laissé le pays dans une situation déplorable avec des conséquences très néfastes sur le régime actuel ».
Katanda : Conflits qui datent de décennies
Le député honoraire Alexis Mutanda est revenu sur les conflits communautaires du territoire de Katanda entre les groupements de Bena Nshimba, Bena Kapuya et Bena Muembia, en s’étonnant du fait que les autorités compétentes ne soient jusque-là à mesure d’imposer la paix entre ces communautés alors que ces conflits existent depuis 1913. Plusieurs commissions ont été déjà dépêchées sur place pour réconcilier les uns les autres : Commission d’enquête de l’Assemblée Nationale(1986), Commission d’enquête de la Conférence Nationale Souveraine, Commission d’enquête du Gouvernement provinciale du KOC, Commission parlementaire provinciale(2007), etc.
L’ingénieur civil Alexis Mutanda invite ses compatriotes à mettre un peu d’eau dans leur vin et cohabiter car il y a une disposition constitutionnelle de la RD Congo qui donne droit à tout Congolais de vivre partout où il veut sur toute l’étendue du territoire national. Il a également salué la matérialisation de la cimenterie de Katanda en invitant le Gouvernement provincial à prendre des dispositions pour protéger la population contre les maladies qui peuvent être causées par cette usine du ciment.
Recrudescence du phénomène « Kuluna »
En ce qui concerne le phénomène Kuluna, l’honorable Alexis Mutanda invite les autorités compétentes à prendre des mesures fortes pour en finir une fois de plus avec ce fléau qui empêche la population kinoise et celle d’autres villes du pays à vivre paisiblement. A Kinshasa par exemple, il ne se passe pas un jour sans que l´on enregistre un acte de vandalisme causé par des groupes des jeunes délinquants connus communément sous l´appellation de kuluna.
Les bagarres rangées de ces groupes dans les quartiers populaires de la capitale affectent la quiétude des paisibles citoyens. A leurs passages, ils dérobent les biens des innocents et ceux qui osent s´opposer sont souvent victimes des coups et blessures. Certaines victimes ont même perdu la vie à la suite des actes de vandalisme des kuluna à Kinshasa et ailleurs.
Parlant de l’alcoolisme comme l’une des causes de cette délinquance, Alexis Mutanda Ngoy-Muana indique que la consommation exagérée de l’alcool par les jeunes de cette tranche d’âge les entraine dans la délinquance juvénile et les empêche de bien réfléchir par rapport à leur avenir. « Cette situation est regrettable car, elle participe à la destruction de leur santé physique et mentale. Cela devient un danger permanent pour la ville de Kinshasa dont des quantités importantes (zododo, lotoko, Bombé et autres) sont vendues et rivalisent avec l’alcool importé (samarino, vodka) », a-t-il soutenu.
Par THK