Se déroulant une semaine seulement avant la tenue des élections nationales en République Démocratique du Congo, le candidat député national numéro 981 dans la circonscription électorale de la Lukunga, Alexis Mutanda Ngoy-Muana continue à sensibiliser la population kinoise en général et les membres de son parti, l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS), à voter massivement pour le numéro 20, le Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, candidat à sa propre succession et pour le numéro 981, Alexis Mutanda.
L’homme a lancé cet appel à ses électeurs membres de l’UDPS/ Camp Munganga et du quartier Masisi, dans la commune de Ngaliema, ainsi qu’à ceux du quartier Beau Marché, dans la commune de Barumbu, à Kinshasa.
L’ancien secrétaire général du parti présidentiel est revenu également sur la vision de ce grand parti historique, à savoir d’instaurer un État de droit, tel que défini par les Pères fondateurs, les 13 parlementaires.
Parti du changement
La bibliothèque vivante de l’UDPS, Alexis Mutanda justifie ce vote massif par le fait que la victoire de FATSHI Béton et les candidats de ce parti va permettre à ce que la vision soit concrétisée.
Il s’agit d’une vision du changement.
Le changement des structures politiques, des Congolais, eux-mêmes, qui doivent être au centre de leur développement, parce que si l’homme Congolais ne se débarrasse pas des antivaleurs encouragées autres fois par certains régimes politiques du passé, s’il n’arrive pas à comprendre que le Congo est son patrimoine et qu’il est le souverain primaire, en ce moment là il n’y aura pas de changement. Pour lui, beaucoup de régimes ont travaillé pour un pouvoir personnel et l’UDPS a compris que cela n’a pas amené au bien-être social de la population.
Ce bien-être suppose un État de droit qui veut dire un pays démocratique où il y a eu des élections libres et transparentes et que le souverain primaire a joué son rôle dans le choix des mandataires.
Alexis Mutanda a également appelé ses électeurs à la prise de conscience tant individuelle que collective des responsabilités en tant que peuple pour aller ensemble en croisade contre les antivaleurs qui freinent notre développement. Il pense en outre qu’il n’est pas possible d’envisager le changement au Congo en ignorant l’importance des valeurs morales dans la Gouvernance politique et les causes profondes de la déchéance.
Transformer le pays
Concernant la démocratie, le candidat numéro 981 pense qu’on est déjà sur une bonne voie dans la mesure où le pays a déjà organisé trois cycles électoraux et bientôt on sera au quatrième.
Ce qui reste, a-t-il poursuivi, c’est l’étape du bien-être social de la population, dont l’essentiel est que tout le monde se mette au travail, pour que chaque Congolais puisse jouir des richesses de son pays sans que cela dépende des étrangers.
» Nous voulons encore aller plus loin, ce que lorsque nous aurons transformé ce pays de manière convenable, que nous puissions le transmettre à notre postérité pour qu’elle jouisse, elle aussi, de la beauté et la position de notre pays « , a-t-il conclu.